Pour des présumées menaces de mort
9 h 15 : Les trois salariés d'Arcelomittal laissent derrière eux les indéfectibles soutiens. Edouard Martin, Louis De Freitas et Antoine Terrak (de g. à d.) sont visés, depuis mercredi, par une plainte, une main courante et quatre dépositions dénonçant des menaces de mort proférées sur des agents de sécurité.

Pour des présumées menaces de mort
9 h 15 : Les trois salariés d'Arcelomittal laissent derrière eux les indéfectibles soutiens. Edouard Martin, Louis De Freitas et Antoine Terrak (de g. à d.) sont visés, depuis mercredi, par une plainte, une main courante et quatre dépositions dénonçant des menaces de mort proférées sur des agents de sécurité.
© Le Républicain Lorrain, Samedi le 14 Avril 2012 / THI /
Photos Philippe NEU.
Durant l'audition du trio CFDT dans les locaux du commissariat de police de Thionville, à l'extérieur, les discours s'improvisent devant les nombreuses caméras brandies par les journalistes. Ici, Yves Fabbri pour la CGT, tentant de réchauffer les coeurs a dit son soutien aux camarades visés par les plaintes.
10 h 15, Louis De Freitas, le dernier 'libéré' rejoindra bientôt le groupe. Au micro, les trois hommes, que d'autres accusent de les avoir menacés de mort, diront tout leur écoeurement. « On veut nous salir parce que notre combat est propre. Ça ne nous mettra pas à terre ».